Lorsque les statistiques annuelles sur le recours à l’aide médicale à mourir (AMM) ont été publiées en octobre dernier, la ministre déléguée à la Santé, Sonia Bélanger, n’a pas caché son étonnement et sa volonté « de bien comprendre les motifs qui font en sorte qu’au Québec il y a plus de demandes, plus d’AMM administrées ».
Il faut dire que le Québec est devenu, en quelques années, l’endroit dans le monde où le recours à l’aide médicale à mourir est le plus fréquent, jusqu'à représenter 7 % des décès. C’est plus du double de la proportion en Ontario.
Or, selon les informations obtenues par Radio-Canada, la ministre Bélanger, aussi responsable des Aînés, a sélectionné un projet de recherche proposé par la professeure Marie-Ève Bouthillier, membre du Bureau de l’éthique clinique de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal. Lire l'article complet ici.