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Le nombre de Québécois qui consentent à faire un don d'organes après avoir obtenu l’aide médicale à mourir augmente, selon des données publiées lundi matin dans le Canadian Medical Association Journal (Nouvelle fenêtre).

Entre janvier 2018 et décembre 2022, lors des cinq premières années de la légalisation de l’aide médicale à mourir (AMM) au Québec, Transplant Québec a reçu 245 références d’un donneur potentiel en contexte d’AMM.

Notons que les données analysées concernent les dons vivants (poumons, cœurs, reins), et non les dons de tissus après décès (qui sont gérés par Héma-Québec).

Parmi les 245 cas référés, 163 ont été exclus; 56 % en raison de problèmes de santé, 21 % ont refusé parce qu'ils ne souhaitaient pas mourir à l’hôpital (un critère pour le don d’organes); 13 % ont choisi de ne plus avoir recours à l’AMM et 4 % sont décédés avant de pouvoir prendre une décision.

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