Le mot d’ordre : en raison des risques élevés de dépendance, les opioïdes doivent être utilisés en dernier recours pour la douleur chronique non cancéreuse et, idéalement, avec de faibles doses et pour de courtes durées.
L'introduction en 2017 de lignes directrices sur l’usage des opioïdes a permis de réduire le volume des prescriptions. Mais elles ont aussi entraîné des conséquences dommageables pour de nombreuses personnes vivant avec une douleur chronique Aujourd’hui, experts et médecins essaient de trouver le juste équilibre.