« La cyberviolence touche particulièrement les jeunes, surtout en cette période de pandémie où l’isolement est accru. La fermeture d’écoles à cause de la pandémie de COVID-19 fait que beaucoup de jeunes restent à la maison et passent plus de temps en ligne.
Bien que le Web puisse leur apporter certains bénéfices (culture numérique, développement de réseaux de soutien, etc.), une utilisation accrue peut augmenter le risque de cyberviolence à caractère sexuel. Elle peut se produire lors des communications avec des personnes plus âgées, avec leurs pairs, avec des étrangers ou avec des personnes que les jeunes connaissent.
La cyberviolence à caractère sexuel touche majoritairement les filles, mais les garçons peuvent aussi en être victimes. »
L'Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) propose une ressource pour les jeunes et une autre pour les parents.
Pour en savoir plus, visitez tracons-les-limites.ca