Dans le contexte de l’évolution rapide de l’information sur la pandémie de COVID-19, les efforts se sont concentrés sur le taux élevé de maladie grave et de décès chez les personnes âgées. Nous avons toutefois été nombreux à être consternés de voir des jeunes s’entasser sur des plages bondées pendant la semaine de relâche de mars, défiant les directives de la santé publique sur la distanciation sociale, mais également à être épatés par les efforts considérables déployés par d’autres jeunes qui viennent en aide à leur communauté.
Les pratiques parentales pendant la COVID-19 : un nouveau défi
Avant la COVID-19, nous, les parents, soutenions l’apprentissage de nos enfants, nous assurions qu’ils mangent les « bons » aliments, qu’ils dorment suffisamment, qu’ils ne se blessent pas et ne blessent pas les autres et qu’ils ne passent pas trop de temps devant les écrans. Parallèlement, nous travaillions, payions le loyer ou l’hypothèque, faisions le marché et avions l’impression de devoir tout faire. En fait, c’est MAINTENANT que nous devons tout faire parce que les écoles sont fermées et que les enfants sont à la maison avec nous TOUTE la journée!
Comment aider les jeunes à lutter contre la déprime pendant la COVID-19 et la #distanciationphysique
La « distanciation » sociale ou physique, un nouveau terme qui est vite entré dans notre vocabulaire, peut susciter de la confusion, de la peur, de la frustration, de l’inquiétude, de la culpabilité, de la tristesse et un sentiment d’isolement chez les jeunes. Les jeunes sont forcés à changer leurs habitudes : ils ne peuvent pas aller à l’école ni au travail, voir leurs amis dans des soirées ou des activités sociales, ni participer à des activités parascolaires.